วันพุธที่ 26 กันยายน พ.ศ. 2550

<< Le cocotier >>


La dominante de cet arbre dans le paysage tahitien est relativement récente puisque sa mise en place débuta il y a un siècle environ. Auparavant, les cocotiers présents dans les zones habitées, étaient moins nombreux que l'arbre à pain.Symbole de vacances, doucement penché sur la plage blonde, le cocotier fut en fait l'arbre à tout faire des Polynésiens qui l'ont diffusé dans toutes les îles.
Du haut de sa dernière palmes jusqu’aux racines, toutes les parties du "haari" étaient utilisées brutes ou travaillées, dans tous les domaines de la vie Les palmes tressées deviennent des nattes, des tuiles de toitures, des chapeaux, visières ou paniers Leur nervures secondaires le niau, fines baguettes, servent de brochettes et de balais ou mape La bourre qui recouvre la noix, dont la fibre est tressée ou cordée, servait à toutes les ligatures chez les ancêtres et reste
aujourd'hui un lien végétal d'un très bel ocre, utilisé dans la décoration en général . La bourre de coco décortiquée sert à faire des brosses à linge et une éponge ou bien il y a des gens qui s'en servent pour faire des tresses, chaînes, bagues, colliers et abat-jours Tressée et trempée plusieurs jours dans l'eau de mer, la palme de cocotier devient le "niau", qui sert à couvrir les toits des "fare", les maisons traditionnelles PolynésiennesLe tronc est encore employé à l'occasion comme matériau de construction .
Tout d'abord ça sert à faire des poteaux pour la maison ou bien pour les barrières, des tables en découpant le tronc à 80cm pour construire une table ou bien un mur en semi-dur .
Et pour les orchestres traditionnelles, c'est à dire : le pahu ou le toere (tambours).
Son écorce et ses racines entrent dans la composition de médicament

<< La baleine >>



Des jeunes, partis de France, sont devenus 9 mois durant, des marins-reporters autour du monde. Ils ont rencontré l’Autre : de l’accueil dans des familles aux observations naturalistes, de la vie en mer aux reportages créatifs, ils ont vécu des moments authentiques et forts.


22 expéditions ont permis à 280 adolescents d’apprendre que, si le monde est grand et les façons de vivre diverses, les êtres humains ont de profondes préoccupations communes. Et que l’on peut partager avec l’étranger de façon simple et chaleureuse avec quelques mots, des gestes d’entraide, des rires et des complicités…


22 expéditions aussi pour se rencontrer soi-même dans la période de mutation qu’est l’adolescence : vivre en groupe, s’émerveiller ensemble, s’affronter, se compléter…
Les jeunes sont maintenant partis vers leur vie d’adulte avec des souvenirs et une expérience qui leur appartient.

<< La vasselle>




La vaisselle est l'ensemble des ustensiles utilisés pour manger. La vaisselle désigne aussi l'action de nettoyer ces ustensiles (on dit « faire la vaisselle »). Le mot argotique plonge désigne cette même tâche ménagère.


Nous mettons à votre disposition en dehors de tous liens avec des fabricants ou fournisseurs de produits et machines de nettoyage, notre expérience dans la formation du personnel de nettoyage dans les domaines du nettoyage des bâtiments, de l'hygiène en cuisine et du lavage de la vaisselle.


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<< La parure>>


C'était une de ces jolies et charmantes filles, nées, comme par une erreur du destin, dans une famille d'employés. Elle n'avait pas de dot, pas d'espérances, aucun moyen d'être connue, comprise, aimée, épousée par un homme riche et distingué; et elle se laissa marier avec un petit commis du ministère de l'Instruction publique. Elle fut simple, ne pouvant être parée, mais malheureuse comme une déclassée; car les femmes n'ont point de caste ni de race, leur beauté, leur grâce et leur charme leur servant de naissance et de famille. Leur finesse native, leur instinct d'élégance, leur souplesse d'esprit sont leur seule hiérarchie, et font des filles du peuple les égales des plus grandes dames. Elle souffrait sans cesse, se sentant née pour toutes les délicatesses et tous les luxes. Elle souffrait de la pauvreté de son logement, de la misère des murs, de l'usure des sièges, de la laideur des étoffes. Toutes ces choses, dont une autre femme

de sa caste ne se serait même pas aperçue, la torturaient et l'indignaient. La vue de la petite Bretonne qui faisait son humble ménage éveillait en elle des regrets désolés et des rêves éperdus. Elle songeait aux antichambres nettes, capitonnées avec des tentures orientales, éclairées par de hautes torchères de bronze, et aux deux grands valets en culotte courte qui dorment dans les larges fauteuils, assoupis par la chaleur lourde du calorifère. Elle songeait aux grands salons vêtus de soie ancienne, aux meubles fins portant des bibelots inestimables, et aux petits salons coquets parfumés, faits pour la causerie de cinq heures avec les amis les plus intimes, les hommes connus et recherchés dont toutes les femmes envient et désirent

l'attention. Quand elle s'asseyait, pour dîner, devant la table ronde couverte d'une nappe de trois jours, en face de son mari qui découvrait la soupière en déclarant d'un air enchanté:
« Ah ! le bon pot-au-feu ! je ne sais rien de meilleur que cela », elle songeait aux dîners fins, aux argenteries reluisantes, aux tapisseries peuplant les murailles de personnages anciens et d'oiseaux étranges au milieu d'une forêt de féerie; elle songeait aux plats exquis servis en des vaisselles merveilleuses, aux galanteries chuchotées et écoutées avec un sourire de sphinx, tout en mangeant la chair rose d'une truite ou des ailes de gélinotte. Elle n'avait pas de toilettes, pas de bijoux, rien. Et elle n'aimait que cela; elle se sentait faite pour cela. Elle eût tant désiré plaire,

être enviée, être séduisante et recherchée. Elle avait une amie riche, une camarade de couvent qu'elle ne voulait plus aller voir, tant elle souffrait en revenant. Et elle pleurait pendant des jours entiers, de chagrin, de regret, de désespoir et de détresse.

<< Un derviche>>



Salvaje, exótico y peligroso como sus hojas giratorias, el derviche es el epítome de la velocidad, la rapidez y el desenfreno. Sus movimientos parecen ser tan aleatorios como elegantes, pero los pasos de su danza letal se efectúan de a cuerdo a su propio ritmo. Casi todos los derviches pertenecen a culturas nómadas. Estos nómadas son simples vagabundos sin raíces propias, tienen tradiciones ancestrales, y sus sociedades sencillamente no consideran los asentamientos permanentes una parte importante de su naturaleza. Son como gitanos, que conservan sus propias tradiciones y forjan sus propios lazos familiares y sociales mientras se mueven por todo el mundo entero. A menudo, estas tribus adoptan la forma de ser incluso algunas leyes de las tierras en las que viven (por la cuenta que les trae, al menos). El derviche considera los estilos de lucha de la misma manera. Aprende la danza de la guerra a medida que crece entre su familia y su tribu. No obstante, observa a los demás mientras viaja, y añade nuevos pasos a la danza en su camino.


Los guerreros, los exploradores y los monjes suelen adoptar el papel del derviche. Muchos paladines ven el salvajismo de la danza y dan por supuesto que tiene sus raíces en el caos, pero los que miren más allá de la aparente aleatoriedad puedan encontrar cosas que aprender. Los bárbaros casi nunca deciden aprender los caminos de la danza, ya que el derviche depende de la sutileza más que de la fuerza bruta. Se sabe que el camino del derviche ha atraído a algunos druidas, bardos, e incluso hechiceros; los que desean aprender un tipo de lucha que no depende de las armaduras y las armas pesadas encuentran esta clase interesante.
Los medianos y elfos son buenos derviches, y muchas tribus nómadas de medianos tienen derviches como principales protectores.


Los PNJs derviches rara vez vagan sin sus tribus. Pueden ser enviados a misiones, o servir como batidores en tierras nuevas, pero el derviche es demasiado importante para la unidad de la tribu como para irse por su cuenta durante periodos extensos de tiempo. No obstante, algunos derviches no desean asumir esta responsabilidad, por lo que existen excepciones a esta regla de vez en cuando. Un derviche al que se encuentre vagando a solas suele estar buscando nuevos desafíos y conocimientos

วันศุกร์ที่ 7 กันยายน พ.ศ. 2550

<< Le Tigre >>



Entre los felinos que han logrado sobrevivir hasta nuestros dํas, el Tigre es el mแs grande. En su estado salvaje, el Tigre de Siberia logra alcanzar los 315 kg. La dimensi๓n promedio del cuerpo, incluyendo la cabeza, es cerca de los 3 metros, a la que se la agrega la cola de .8 metros.Aun habita desde Turquํa hasta la penํnsula Indochina y en las islas al sur en el archipi้lago de la Sonda. Al norte su ubicaci๓n llega hasta Siberia.Debido a su gran peso el tigre por lo general no


se sube en los แrboles. Un poco peculiar entre los felinos, el tigre no solo demuestra ser un gran nadador, pero tambi้n gustarle el agua aun cuando tiene que nadar.El color bแsico del tigre, como todos conocemos, es la piel amarilla rojiza con franjas verticales oscuras. Aunque la tonalidad de estos dos colores varํa entre las subespecies, permanece inconfundible. Existen dos desviaciones de este patr๓n: el tigre negro, en el cual el color amarillo es remplazado por un pardo muy oscuro, asํ como en el leopardo y el jaguar. Y el popular tigre blanco, donde las partes amarillas son blancas.


Normalmente las madres tienen dos cachorros, pero pueden ser hasta cuatro. El perํodo de gestaci๓n es de 100 a 110 dํas. Son adultos de los tres a cuatro a๑os. Se le estima una longevidad de unos 18 a๑os, en cautiverio viven 25 a๑os.La alimentaci๓n consiste de mamํferos grandes; como ciervos, cerdos, vacas y otros. En tiempo de escasez comen todo lo que encuentren; desde lagartijas y ranas hasta insectos. Cuando un tigre mata a un ser humano se convierte en lo que llaman un “tigre comedor de hombres”. Porque una vez que crea le hแbito, contin๚a matando personas. En realidad es muy l๓gico. Entre las especies de mamํferos grandes, nosotros


posiblemente seamos la mแs abundande en donde vive el tigre, y en casi todas partes. Si nos comparamos en musculatura y fortaleza fํsica con los otros animales de nuestro tama๑o, la verdad es que la naturaleza no fue muy bondadosa con nosotros. Y el Tigre que no tiene un pelo de tonto, pues sigue haciendo lo que le es mแs fแcil. Termina la cosa en que hay que sacrificarlo. Esto es tambi้n cierto en el caso del le๓n y los osos.